e chant de ta vie, le parfum de nos vies Toi l’enfant, toi Céline qui a rencontré la connaissance, tu as grandi. Cette connaissance, t’a donné l’espoir de vivre dans l’amour et l’envie. L’envie de connaître les autres, les rêves et les mystères de l’inconnu. Encore enfant, Céline pour lui sans fin, tu as pris du plaisir et l’a parcouru. Tu vis avec sensations, émotions, excitations et frissons vagabonds. Puis un jour, tu fus la femme et avec lui dans le plaisir tu embrassa la raison. L’homme de tes rêves, l’homme de ta vie fit une soudaine apparition. De cet amour dévoilé, avec mystères, Alexandre enchante vos douces saisons. Céline, tu cours, tu chantes, tu pleurs, tu ris, tu vibres et tu te donnes. Les jours passent, tes jours, tes semaines, tes mois, tes années qui t’étonnent. Puis comme un ange, dans la lumière, Claire, te découvre dans toute sa grâce. Sur la rivière froide des êtres lointains, avec eux, tu joues du temps qui passe. Valses des beaux jours heureux qui nous bercent par le chant de vos vies. Comme le garde des clefs tu protèges avec vigilances leur cœur, leur paradis! Celui de ton bonheur magique qui par la brume de ton parfum, se fleurit. Jean Philippe, cueille, puis effeuille avec désir, les fruits de ta passion de vivre et en jouit. Un long parcours embaumé par le bonheur et le doux parfum épicé qui surfe sur les ans. Avec l’ombre d’un voile de soie qui sous le vent caresse avec tendresse la chaleur de tes 30 ans. Aujourd’hui, Céline, tu découvres dans l’amour le charme des meilleurs moments. Céline, tu brilles, tu étincelles de ton sourire et de tes yeux si grands, tu découvres tes enfants. pour toi Céline Ainsi, va la vie Ainsi, va ta vie Ainsi, avec force, nous vivons de votre absence Alors prends, prends, prends sans compter, prends le temps de vivre ! Ton papa

Toi l’enfant, toi Céline qui a rencontré la connaissance, tu as grandi.
Cette connaissance, t’a donné l’espoir de vivre dans l’amour et l’envie.
L’envie de connaître les autres, les rêves et les mystères de l’inconnu.
Encore enfant, Céline pour lui sans fin, tu as pris du plaisir et l’a parcouru.

Tu vis avec sensations, émotions, excitations et frissons vagabonds.
Puis un jour, tu fus la femme et avec lui dans le plaisir tu embrassa la raison.
L’homme de tes rêves, l’homme de ta vie fit une soudaine apparition.
De cet amour dévoilé, avec mystères, Alexandre enchante vos douces saisons.

Céline, tu cours, tu chantes, tu pleurs, tu ris, tu vibres et tu te donnes.
Les jours passent, tes jours, tes semaines, tes mois, tes années qui t’étonnent.
Puis comme un ange, dans la lumière, Claire, te découvre dans toute sa grâce.
Sur la rivière froide des êtres lointains, avec eux, tu joues du temps qui passe.

Valses des beaux jours heureux qui nous bercent par le chant de vos vies.
Comme le garde des clefs tu protèges avec vigilances leur cœur, leur paradis!
Celui de ton bonheur magique qui par la brume de ton parfum, se fleurit.
Jean Philippe, cueille, puis effeuille avec désir, les fruits de ta passion de vivre et en jouit.

Un long parcours embaumé par le bonheur et le doux parfum épicé qui surfe sur les ans.
Avec l’ombre d’un voile de soie qui sous le vent caresse avec tendresse la chaleur de tes 30 ans.
Aujourd’hui, Céline, tu découvres dans l’amour le charme des meilleurs moments.
Céline, tu brilles, tu étincelles de ton sourire et de tes yeux si grands, tu découvres tes enfants.

pour toi Céline

Ainsi, va la vie
Ainsi, va ta vie
Ainsi, avec force, nous vivons de votre absence

Alors prends, prends, prends sans compter, prends le temps de vivre !


Ton papa